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Finances

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La liberté financière ne se résume pas à avoir beaucoup d’argent. C’est avoir le choix : travailler ou non, se réveiller au réveil ou non, tolérer son patron ou non. C’est disposer de revenus passifs (investissements, loyer, entreprise) qui couvrent ses dépenses et ne plus dépendre de son salaire. Ce n’est pas un rêve, c’est un objectif atteignable si vous vous y attelez consciemment et systématiquement.

La première étape consiste à déterminer votre « point de liberté ». Calculez combien il vous faut par mois pour vivre confortablement : pas dans le luxe, mais sans stress. Multipliez par 12 : vous obtenez le montant annuel. Multipliez ensuite par 25 (selon la règle des 4 % : vous pouvez retirer 4 % de votre capital par an sans l’appauvrir). Voilà votre objectif.

La deuxième étape consiste à augmenter l’écart entre vos revenus et vos dépenses. Plus vous épargnez, plus vite vous atteindrez votre objectif. Si vous gagnez 100 000 $ et dépensez 90 000 $, vous mettez de côté 10 %. Si vous gagnez 100 000 $ et dépensez 60 000 $, vous mettez de côté 40 %. Dans le deuxième cas, vous atteindrez la liberté quatre fois plus vite. Apprenez à vivre au-dessous de vos moyens, non par avarice, mais par stratégie.

La troisième étape consiste à investir systématiquement. L’argent que vous mettez de côté doit rapporter, sinon l’inflation le grignotera. Investissez dans des actifs fiables et à long terme : ETF, obligations, actions à dividendes, immobilier. Utilisez un compte de placement individuel pour bénéficier d’avantages fiscaux. Réinvestissez vos revenus, afin que l’effet des intérêts composés fonctionne. Plus vous commencez tôt, moins vous aurez besoin d’investir chaque mois.

La quatrième étape consiste à créer plusieurs sources de revenus. Ne comptez pas uniquement sur votre salaire. Cela peut prendre la forme de :
— Travail indépendant ou à temps partiel ;
— Location (appartement, voiture, objets) ; — Entreprise (même petite — boutique en ligne, formations, consultations) ;
— Revenus passifs (dividendes, coupons, royalties).
Plus les sources sont nombreuses, plus la stabilité est élevée.

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L’éducation financière ne se résume pas à des formules complexes et à des stratégies boursières. Il s’agit de compétences de base que chacun devrait maîtriser pour ne pas se laisser tromper, ne pas s’endetter et ne pas vivre dans un stress constant à cause de l’argent. Il s’agit de savoir planifier un budget, comprendre les prêts, distinguer les actifs des passifs, épargner et investir. Sans éducation financière, vous êtes l’otage des circonstances. Avec elle, vous êtes maître de votre vie.

Pourquoi est-ce important ? Parce que le monde est devenu plus complexe. Les banques proposent des centaines de prêts à des conditions « favorables » qui sont en réalité abusives. Les compagnies d’assurance vendent des polices inutiles. Les magasins proposent des paiements échelonnés. Sans connaissances, vous pouvez facilement vous faire avoir et payer pendant des années. L’éducation financière est une protection.

Par où commencer ? Par les bases :
— Revenus et dépenses : qu’est-ce que c’est, comment les calculer ;
— Budget : comment l’établir et le respecter ;
— Fonds d’urgence : pourquoi est-il nécessaire et comment le constituer ;
— Prêts : fonctionnement, calcul du trop-perçu, quand le contracter et quand ne pas le contracter ;
— Épargne : où la placer pour éviter la dépréciation.
Maîtrisez ces sujets et vous serez bien au-dessus de la plupart.

Utilisez des ressources gratuites :

— Chaînes YouTube : « Just about finances », « Dvizh » ;
— Livres : « Think and Grow Rich », « The Intelligent Investor », « Finances for Dummies ».
Inutile de payer pour des cours « secrets » : l’intégralité de la base est disponible gratuitement.

Entraînez-vous à petite échelle. Faites un dépôt bancaire et calculez le montant que vous recevrez à la fin du terme. Prenez une calculatrice de crédit et calculez le trop-perçu de votre prêt. Établissez un budget pour une semaine et comparez-le à vos dépenses réelles. La théorie sans pratique est vaine. Seule l’action vous permettra d’apprendre véritablement.

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Investir n’est pas un jeu d’enfant, ni l’apanage des riches, ni une aventure risquée. C’est un processus systématique qui consiste à investir de l’argent pour qu’il travaille pour vous et génère des revenus sans investissement quotidien. Même avec seulement 1 000 $ par mois, vous pouvez commencer à investir. L’essentiel est de comprendre les règles, de prendre son temps et de ne pas courir après les superprofits.

Premier principe : n’investissez que de l’argent gratuit. C’est-à-dire l’argent sans lequel vous pourriez vivre un mois, même si tout va mal. Ne dépensez pas d’argent pour la nourriture, le loyer, les soins médicaux. Ne contractez pas de prêts pour investir. Investir est une question de croissance, pas de survie. Si vous investissez dans ce dernier, vous êtes déjà en perte, car vous agissez par peur, et non par stratégie.

Deuxième principe : la diversification. Ne mettez pas tous vos œufs dans le même panier. Répartissez votre argent entre différents actifs : actions, obligations, or, immobilier, liquidités. Même au sein des actions, il n’existe pas une seule entreprise, mais un fonds (ETF) regroupant des dizaines, voire des centaines d’entreprises. Cela réduit le risque : si un actif chute, d’autres peuvent progresser ou rester stables.

Troisième principe : le long terme. Investir est un marathon. Les marchés progressent à long terme, mais peuvent chuter à court terme. Si vous paniquez à chaque baisse, vous vendrez à perte. La meilleure stratégie pour un débutant est « acheter et conserver ». Par exemple, achetez un ETF sur l’indice S&P 500 ou MICEX chaque mois, et ne consultez pas les cotations pendant des années.

Par où commencer ? Les options suivantes sont idéales pour un débutant :
– Comptes de courtage avec accès aux ETF et aux obligations ;
– Compte d’investissement individuel (IIS) : offre une déduction fiscale ;
– Assurance par capitalisation ou fonds de pension non étatiques ;

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Un budget n’est pas une prison, mais une carte. Il ne vous prive pas de plaisirs ; il vous montre comment les obtenir sans stress ni dette. Nombreux sont ceux qui craignent les budgets, car ils s’imaginent des limites et des interdictions strictes. En réalité, un bon budget est flexible, réaliste et encourageant. Il ne répond pas à la question « Que vais-je manquer ? », mais à celle « Que puis-je me permettre sans crainte ni culpabilité ?»

Étape 1 : Déterminez la période. Pour la plupart des gens, il s’agit d’un mois. Prenez un calendrier et notez les dates de vos revenus (salaire, freelance, avantages sociaux, etc.). C’est votre « axe financier » ; vous vous baserez dessus pour planifier vos dépenses.

Étape 2 : Calculez toutes vos sources de revenus. Non seulement le salaire, mais aussi les emplois à temps partiel, les intérêts sur les dépôts, le loyer, les cadeaux, les remboursements d’impôts. Notez le montant total « net », après déduction de toutes les dépenses. C’est votre plafond financier pour le mois. Toutes vos dépenses doivent correspondre à ce montant, sinon vous serez dans le négatif.

Étape 3 : Recueillez les données sur vos dépenses des 2 à 3 derniers mois. Utilisez vos relevés bancaires, vos reçus et des applications de comptabilité. Divisez vos dépenses en catégories :
— Logement (loyer, crédit immobilier, charges) ;
— Alimentation (épicerie, cafés) ;
— Transports ;
— Santé ;
— Loisirs ;
— Éducation ;
— Épargne ;
— Autre.
Cela vous aidera à comprendre où va réellement votre argent, et non où vous le pensez.

Étape 4 : Fixez des limites par catégorie. Privilégiez la méthode 50/30/20 :
— 50 % pour les dépenses obligatoires (logement, alimentation, transports) ;
— 30 % pour les envies (loisirs, loisirs, voyages) ;
— 20 % pour l’avenir (épargne, investissements, remboursement de dettes).
Si vos chiffres ne correspondent pas, pas de panique. Ajustez progressivement : par exemple, réduisez vos dépenses liées à vos envies de 5 % par mois jusqu’à atteindre votre objectif.

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Les finances personnelles ne se résument pas à des millions, mais à une question de contrôle. C’est un système qui vous permet de savoir où va votre argent, combien il en reste, ce que vous pouvez dépenser et ce que vous ne pouvez pas. Sans ce système, vous vivrez éternellement de paie en paie, vous serez anxieux, vous ferez des achats impulsifs et vous ne comprendrez pas où va votre argent. La première étape est de comprendre que votre argent est votre responsabilité et que vous seul pouvez le gérer.

Commencez par suivre vos revenus et vos dépenses. Pas besoin de programmes compliqués : un carnet, Excel ou une application gratuite (par exemple, Zen-money, Money Manager, CoinKeeper) suffisent. Enregistrez TOUT : d’un café à 100 roubles aux frais de logement et de services publics. Faites cela pendant au moins un mois pour avoir une idée précise. Vous serez surpris de voir combien vous dépensez pour des « petites choses », qui au total deviennent énormes.

Divisez les dépenses en catégories :
— Obligatoires (logement et services publics, alimentation, transports, prêts) ;
— Variables (loisirs, cafés, shopping) ;
— Épargne/investissements ;
— Réserve (coussin de sécurité, dépenses imprévues).
Cela vous aidera à comprendre ce sur quoi vous pouvez économiser et ce qui est sacré. Par exemple, si 40 % de vos revenus sont consacrés aux loisirs, il est temps de revoir vos priorités.

Établissez un budget. Un budget n’est pas une limite, mais un plan. La méthode la plus simple et la plus efficace est le 50/30/20 :
— 50 % des revenus pour les besoins essentiels ;
— 30 % pour les envies ;
— 20 % pour l’épargne et les dettes.
Si votre structure est très différente, ajustez-la progressivement. L’essentiel est que le budget soit réaliste, et non idéal.

Commencez par une « hygiène financière ». Voici quelques habitudes de base :
— Payez-vous en premier : mettez de côté 10 à 20 % immédiatement après avoir perçu vos revenus ;
— Utilisez des comptes séparés (revenus, dépenses, épargne) ;
— Automatisez les paiements et les virements ; — Évitez les prêts à la consommation (sauf pour les prêts immobiliers ou les études).
Ces habitudes fonctionnent automatiquement et vous protègent du chaos.

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