Écrivez votre « pourquoi » et relisez-le. Créez une « déclaration d’intention » : 3 à 5 phrases décrivant pourquoi vous faites ce que vous faites. Imprimez-la, accrochez-la au mur, utilisez-la comme fond d’écran de votre téléphone. Lisez-la chaque matin. Elle vous servira de point d’ancrage les jours difficiles. Quand vous manquez de force, votre « pourquoi » vous la rendra.
Liez vos actions quotidiennes à votre « pourquoi ». Non pas « Je vais à la salle de sport », mais « Je vais à la salle de sport pour être en bonne santé et actif pour mes enfants ». Non pas « J’écris un rapport », mais « J’écris un rapport pour développer et construire la carrière dont je rêvais ». Lorsqu’une action est profondément ancrée dans la réalité, elle cesse d’être une routine. Cela fait partie du chemin.
Revoyez votre « pourquoi ». Il peut changer avec l’âge, l’expérience et les circonstances. Ce qui était important à 25 ans peut ne plus l’être à 40 ans. Ce n’est pas grave. Demandez-vous régulièrement : « Mon « pourquoi » est-il toujours pertinent aujourd’hui ? Qu’est-ce qui a changé ? Qu’est-ce qui est plus important pour moi maintenant ?» La flexibilité dans votre « pourquoi » est un signe de maturité, pas de faiblesse.
Partagez votre « pourquoi ». En l’exprimant à voix haute, il devient plus concret. Il inspire les autres et vous apporte du soutien. Ceux qui connaissent votre « pourquoi » vous aideront, vous motiveront et vous le rappelleront lorsque vous l’oublierez. Votre « pourquoi » n’est pas seulement pour vous. Il peut être une source d’inspiration pour les autres.
Enfin, sans « pourquoi », il n’y a pas de sens, mais avec lui, rien n’est impossible. Lorsque vous savez pourquoi vous vous levez chaque matin, vous êtes prêt à surmonter toutes les difficultés. Fatigue, peur, doute : tout s’efface devant un « pourquoi » profond, personnel et émotionnel. Cela ne facilite pas le chemin, mais le rend plus utile. Et c’est le plus grand pouvoir que vous puissiez avoir.
